Obie Koul, tome 1 : Un week-end sur deux chez mon père

De Pierre Makyo et Alessia Buffolo

Lecture 2020

Résumé : Mia vit sur terre, Elzeki est extraterrestre. Mia a été enlevée par Elzeki lors d’une mission d’exploration. Ils se sont aimés, puis séparés. De leur amour hétéroplanétaire est né un fils, Obie. À 12 ans, l’adolescent ne sait toujours rien des origines de son père. Lorsque ses parents lui expliquent enfin la vérité, il n’en revient pas. Dorénavant, il va devoir passer un week-end sur deux et la moitié des vacances scolaires sur une autre planète… Trop cool !

Mon avis : Obie est né d’une mère Terrienne et d’un père venu d’une autre planète. Petit à petit, il en apprend plus sur son père et Obie découvre qu’il n’est pas un simple humain. Cela lui sera bien utile pour se défendre face aux rebelles du collège.

Même dans un livre de science-fiction, il est possible de faire un scénario crédible si tout se relie correctement et coordonne bien. Ici, bien que ce soit une BD plutôt destinée à la jeunesse et/ou aux adolescents, le déroulement de l’histoire ne permet pas une réelle projection.

Obie fait sa rentrée dans une nouvelle école, il se lie rapidement d’amitié avec Axelle, une jeune fille au style affirmé. Rapidement, Obie et Axelle sont menacés par deux bandes de rebelles. Tout semble surréaliste puisque les gangs ont des couteaux afin de menacer les autres, cette situation peut se produire dans la vraie vie, mais il s’agit ici d’un cas extrême.

C’est tardivement que Obie découvre qui est réellement son père, quand je dis « qui », je parle de son histoire personnelle. En effet, la relation entre ses parents est assez étrange, sa mère est humaine et son père vient d’ailleurs. Ils sont séparés mais entretiennent toujours un lien très fusionnel. La vie d’Obie est donc remplie d’aventures.

Ce premier tome met en place l’histoire, la vie d’un adolescent atypique dans son nouveau collège coincé entre deux gangs, son amie et ses parents, notamment les secrets de son père. Ce premier opus ne m’a pas convaincu, je ne poursuivrais pas ma lecture.

Note : 4 sur 10.

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